#pas du tout angoissés et angoissants ces jeunes

[je-suis-ronflex]

Elève de première complètement paniquée, la voix larmoyante : "monsieur vous ne nous avez pas dit au premier cours le matériel que vous vouliez du coup j'ai pris un classeur et je prends mon cours sur feuille j'espère que c'est bon pour vous sinon pas de souci j'achèterai un cahier" Moi qui vient juste pour faire du stand up et repartir : "ouais ok un classeur c'est bon"

[campusdrivers]

𝐑͟𝐎͟𝐌͟𝐄͟𝐎͟ 𝐖͟𝐎͟𝐋͟𝐈͟𝐍͟𝐒͟𝐊͟𝐈 ;

— Red is often associated with intense emotions. It mainly evokes love and passion, but also anger and danger. Due to its strong visual impact, it's a color that stimulates a lot. Romeo, with his traumas or anxiety, finds himself drawn to the color red, a color that can be alarming.

Roméo voit le jour dans une famille stable et heureuse. Ses parents se sont rencontrés au lycée et ne se sont jamais quittés depuis. Ils ont poursuivi leur vie ensemble, cultivant leur amour jusqu’à l’arrivée de leur premier enfant. Quel bonheur pour le couple, qui attendait leur petit garçon avec impatience ! Roméo est heureux, parce qu’il est aimé, que ses parents sont amoureux et, surtout, il est vu comme leur plus beau bijou. Roméo apprend très jeune à exprimer ses émotions et comprend la notion de l’amour parental, tout comme il découvre, pour la première fois, l’amour fraternel lorsque sa petite sœur Narae voit le jour deux ans après lui. D’autres enfants auraient pu être jaloux de cette nouvelle arrivée, mais ce n’est pas le cas de Roméo. Déjà, il se fait la promesse de veiller sur elle toute sa vie. Sa petite sœur est son trésor le plus précieux. Cependant, Roméo évolue, tout comme Narae, lorsqu’il découvre les joies de l’adolescence et commence à s’éloigner quelque peu de sa famille et de sa sœur, pour traîner de plus en plus avec ses nouveaux amis. Il ne voit pas le mal qu’il est en train de causer, ni même ce qui se passe dans son dos lorsqu’il n’est pas là. Il ne voit pas venir le moment où, du jour au lendemain, Narae se met à l’ignorer et à lui adresser une haine profonde. Roméo, désemparé, cherche à comprendre pourquoi sa sœur le déteste. C’est une lutte sans nom pour essayer de lui faire avouer ce qui ne va pas, et après avoir insisté une énième fois, il apprend qu’un de ses amis a agressé sa sœur quand il avait le dos tourné. Le premier réflexe de Roméo est d’aller retrouver ce garçon pour lui faire payer ce qu’il a fait à Narae. Mais ce passage à tabac ne fait qu’accentuer la distance avec elle, qui ne supporte pas la violence dont son frère peut faire preuve. De plus, elle juge que c’est trop tard pour agir.

Roméo a bien sûr l’impression d’être une mauvaise personne, de n’avoir pas pu protéger Narae. Alors il se renferme sur lui-même, développe une angoisse constante et une anxiété qui le ronge petit à petit, surtout face au mutisme et à l’indifférence de sa sœur, qui continue de vivre dans le même espace que lui tout en lui faisant croire qu’il n’existe pas. Le coup de grâce lui est porté lorsqu’il est à l’université. Capitaine de l’équipe de basket, son père, qui est aussi son coach, fait un arrêt cardiaque sur le terrain. Ce choc bouleverse Roméo, qui a de plus en plus l’impression d’être une mauvaise personne. Il n’a pas vu que sa petite sœur allait mal, qu’il n’a pas vu que son père souffrait, que sa santé se détériorait. Il n’a pas vu non plus que ses parents ne s’aimaient plus depuis longtemps et qu’ils attendaient le bon moment pour annoncer leur divorce. Lui, trop concentré sur les soirées, les aventures amoureuses et le basket, attend simplement le jour où il aura le courage de relever la tête, de reprendre ses responsabilités et de se reconstruire auprès de sa famille. Mais il peut compter sur les Campus Drivers, ses meilleurs amis, pour l’aider à tenir le cap. Il retrouve une certaine stabilité mentale, bien qu’il soit toujours angoissé, mais cette fois, il a l’impression d’être une bonne personne lorsqu’il s’investit à cent pour cent dans les activités des Campus Drivers.

i. Romeo ne supporte pas être seul, peut-être que c'était dû à sa peur de l'abandon ou à son anxiété grandissante de jour en jour mais il ne supporte pas. Constamment dans cette crainte de se perdre dans ses pensées les plus sombres, il préfère être en totale activité et avoir du monde autour de lui pour mettre son cerveau en pause. C'est pour ça qu'il est à l'origine de la colocation avec Adam et Lewis, c'est lui qui leur a proposé et il se sent un peu mieux quand le soir il peut rentrer chez lui et retrouver ses meilleurs amis.

ii. Bien que ce grand dadet ne l'avouera jamais, il considère plus Jubee comme sa petite soeur que comme une amie proche. C'est peut-être parce qu'il est en conflit avec sa propre soeur, qu'il a l'impression de devoir tenir ce rôle là envers la blonde, mais il ne supporte pas que quelque chose puisse lui arriver. Vraie relation de chien et chat, Romeo voit en Jubee une vraie bouffée d'air frais pour leur groupe.

iii. Romeo n'a pas prévu de faire autre chose que du sport dans sa vie. Il est intelligent et a des facilités en cours, notamment en économie, mais ce n'est pas ça qui l'intéresse. Tout ce qui l'intéresse c'est le basket. Si le jeune homme n'arrive pas à avoir une carrière suffisante dans le monde du basket, il pense de plus en plus à devenir coach dans le futur, pour suivre les pas de son père et continuer de le rendre fier.

◡̈

𝐇͟𝐈͟𝐒͟ 𝐌͟𝐎͟𝐎͟𝐃͟𝐁͟𝐎͟𝐀͟𝐑͟𝐃 ;

Romeo incarne le cliché du capitaine de l’équipe de basket ; un joueur un peu trop insouciant, toujours à courir après étudiant(e)s, vivant pour les soirées et ses amis. Mais derrière cette façade se cache un jeune homme en proie à des crises d’angoisse depuis son adolescence. Entre un père qui se remet d’une crise cardiaque et une petite sœur qui refuse même de lui parler, Romeo se sent comme une mauvaise personne, comme s’il n’était pas à la hauteur des attentes de ceux qui l’entourent. Bien sûr, il ne confie rien à ses amis et se contente d’être le garçon qu’ils attendent de lui, mais au fond, il est constamment anxieux et stressé. Peu de gens savent qu'il consulte un psychologue chaque semaine, pour comprendre ses angoisses, se livrer et se libérer de ce poids. Ce qu’il cherche au fond, ce qu’il désire vraiment, c’est simplement être aimé et apprécié pour ce qu’il est réellement, au-delà de l’image superficielle qu’il renvoie, celle d’un garçon un peu maladroit, qui ne prend rien au sérieux. Parce qu’en réalité, c’est tout l’inverse.

◡̈

𝐇͟𝐈͟𝐒͟ 𝐈͟𝐍͟𝐒͟𝐓͟𝐀͟𝐆͟𝐑͟𝐀͟𝐌 ;

[christophe76460]

O2Vie 209-2023 / 07 : Appelés à grandir (6)

1 Samuel 30:6: “David fut dans une grande angoisse, car le peuple parlait de le lapider, parce que tous avaient de l'amertume dans l'âme, chacun à cause de ses fils et de ses filles. Mais David reprit courage en s'appuyant sur l'Éternel, son Dieu.”

Nous avons besoin de grandir spirituellement afin de bien gérer nos difficultés. David et ses gens restèrent à Gath auprès d'Akisch; ils avaient chacun leur famille (1 Samuel 27:1-3). En un moment de son séjour dans le pays des Philistins précisément à Tsiklag, les amalécites vont faire une invasion dans le midi et à Tsiklag. Ils avaient détruit et brûlé Tsiklag, après avoir fait prisonniers les femmes et tous ceux qui s'y trouvaient, petits et grands. David et ses gens arrivèrent à la ville, et voici, elle était brûlée; et leurs femmes, leurs fils et leurs filles, étaient emmenés captifs (1 Samuel 30:1-3). Alors David et le peuple qui était avec lui élevèrent la voix et pleurèrent jusqu'à ce qu'ils n'eussent plus la force de pleurer.

Voici ce qui est arrivé à l'homme selon le cœur de Dieu, David. Tellement angoissé, David pleurait jusqu'à n'ayant plus de souffle mais David est un homme mâture. Il sait s'appuyer sur le Seigneur pendant ses moments difficiles pour prendre courage. C'est cette maturité que le Seigneur désire de chacun de ses enfants. Dieu a mal de voir ses enfants qui pour un petit problème démissionnent de leur zèle pour les âmes, démissionnent des bonnes œuvres ou résignent. Dieu veut que nous grandissions dans sa connaissance. La vie chrétienne normale est un ensemble de choses : “des moments de joie et des moments de situations difficiles”. Notons bien que pendant nos situations difficiles Dieu est avec nous comme il fut avec les trois jeunes hébreux dans le feu (Daniel 3:24-26) et avec David dans 1 Samuel 30. On ne comprend pas toujours ce que Dieu est en train de faire pendant les moments d'angoisses mais faisons au moins confiance à sa fidélité. Dieu est souverain. Il sait des choses que nous ne savons pas. Il est Dieu. Aucun détail ne lui échappe. Pour ma part je crois qu'il fera concourir toute chose pour mon bien selon sa promesse dans Romains 8:28. Pendant les moments d'angoisse, apprenons à nous appuyer sur l'Éternel, notre Dieu comme David dans 1 Samuel 30:6 et nous verrons que même nos souffrances travailleront à notre salut ou au salut de quelqu'un pour la gloire de Dieu. Amen.

Esaïe 38:17 :“Voici, mes souffrances mêmes sont devenues mon salut; Tu as pris plaisir à retirer mon âme de la fosse du néant, Car tu as jeté derrière toi tous mes péchés.”

Dieu vous bénisse abondamment.

Lazare AFANDJEGO & L'Equipe Eau de Vie

[christophe76460]

13-477 La mort de Charles Darwin

https://soundcloud.com/jlgaillard/la-mort-de-charles-darwin

Charles Darwin, le grand apôtre de l’évolution, mourut en 1882 et fut enseveli dans l’Abbaye de Westminster. Voici ses derniers moments de sa vie.

Darwin est couché, soutenu par des oreillers. Son regard se dirige souvent vers la fenêtre ouverte, par laquelle entrent les derniers rayons de soleil. Dans la demi-clarté du jour finissant, le mourant essaie de lire… la Bible !

Lady Hope, bien connue pour son travail évangélique, est près de lui :

- Je faisais allusion, raconte-t-elle, aux opinions de certaines personnes sur l’histoire de la création et du peu de cas qu’elles font des premiers chapitres de la Genèse.

Une ombre passa sur les traits de Darwin, son regard devint angoissé et ses doigts se tordirent nerveusement.

- J’étais jeune alors, répondit-il (il pensait à son livre "De l’origine des espèces"). Mes idées n’étaient pas mûres, j’aimais à faire des suggestions, à lancer des « pourquoi », à émettre des idées nouvelles, et, à ma grande surprise, ces idées se sont répandues comme un feu de prairie. Les gens en ont fait une religion !

Y eut-il jamais scène plus tragique ? Darwin, Bible en main, parlait avec tout l’enthousiasme dont il était encore capable de la grandeur du « Livre », déplorant les funestes résultats de ses théories évolutionnistes, implorant Lady Hope (qui était lectrice de la Bible dans les villages) de réunir ses domestiques, ses fermiers, ses voisins et de leur prêcher Jésus-Christ, confessant que ses idées de jeunesse étaient responsables, en grande partie tout au moins, de l’évolution théologique à laquelle il avait assisté, effrayé, lorsqu’il s’était rendu compte qu’il ne lui était pas possible d’arrêter la marche de ses théories nuisibles, comme on retire de la circulation une fausse pièce de monnaie. Quel avertissement à tous les détracteurs de la parole de Dieu !

Il est réconfortant de penser que les dernières forces de ce grand « remueur d’idées » ont été employées à exalter Jésus-Christ, révélation vivante, et la Bible, révélation écrite de Dieu à l’humanité.

Voyez comme un petit feu fait embraser une grande forêt ! La langue aussi est un feu, Jacques 3 : 4-12.

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Jean-Louis Gaillard

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